vendredi 30 octobre 2015

































la généalogie particulière des terriens de cette époque

Une rétrospective aura lieu au Comptoir du dessin, 32 rue de Liège, Métro Liège, entre le 12 novembre 2015 et le 5 décembre de la même année


dimanche 25 octobre 2015

Jeronimus Antharius Brice Savarin


Une rétrospective aura lieu au Comptoir du dessin, 32 rue de Liège, Métro Liège, entre le 12 novembre 2015 et le 5 décembre de la même année


Bouffeur, goinfre, morfale, goûteur, tasteur, avaleur, mangeur, bon vivant, cuisinier et critique gastronomique, mort de la goutte en 1902

samedi 24 octobre 2015

Le Paon Optique Cavernicole

Une rétrospective aura lieu au Comptoir du dessin, 32 rue de Liège, Métro Liège, entre le 12 novembre 2015 et le 5 décembre de la même année


Premier spécimen de Paon optique ramené d'Argos par Alphédius Alahzen  (père d’Alphidophore Alahzen - voir  plus haut, ou plus bas )
Celui-ci racontait que s'étant foulé le pied droit en débarquant, il avait marché dans la grotte du pied gauche et que cela lui avait porté bonheur.
Le  paon optique est une espèce aux yeux fragiles et photosensible. Pour cette raison on ne le découvre que dans les cavernes, les gouffres et parfois lors d’une page sombre de l’histoire.
L’espèce fut acclimatée au sol français par Armand Licencié, (né le  janvier 1869 sous le préau de l'école de Lorrez-de-Bocage (Seine-et-Morne) et mort le  juillet 1915 à Moissec (Tarn-et-Garonne) d’une des premières canicules. Espécéologue français, qui fut un précurseur de l' espécéologie, ou plus vukgairement, spécialistes des espèces cavernicoles
 Le paon optique cavernicole permit la production d’yeux cave, idéaux pour l'introspection et la réflexion sur soi.

jeudi 22 octobre 2015

étude pour l'affiche de l'exposition universelle 1900

Une rétrospective aura lieu au Comptoir du dessin, 32 rue de Liège, Métro Liège, entre le 12 novembre 2015 et le 5 décembre de la même année


Eusebio Praxitelos, le génial golem tridactyle à l'origine des fabuleuses formes de la femme demanda à son ami Alfus Moncha de réaliser l'affiche pour l'exposition universelle qui allait faire connaître au monde sa nouvelle merveille. 

Nous avons la chance d'avoir retrouvé cette étude préliminaire dans un carton destiné à conserver les plans de l'exposition.
Alfus Moncha, comme Franz Enstein et Otto Rivers von Aslet était originaire des farouches et lugubres montagnes qui séparaient l'Europe de la Russie. Son caractère slave le rendait prompt à la mélancolie comme à l'exubérance, même s'il était le plus souvent mélancoliquement exubérant ou exubéremment mélancolique . 
Il fut le premier peintre à représenter la femme et son influence perdure encore de nos jours, car il est l'un des seuls à pouvoir en exprimer tout à la fois la grâce et la force, la poésie et la beauté. 

lundi 19 octobre 2015



Exposition Les monstres de Paris

z'en Novembre 2015au comptoir du Dessin, à Parishttp://comptoirdudessin.com/

Largos Cardel


Je ne peux malheureusement pas traduire ce texte écrit au dos de la photo de Cardel, mon espagnol étant par trop déficient, mais je suppose que cela parle du chanteur argentin, et je le retranscris donc fidèlement en espérant ne pas y ajouter de faute. 


Largos Cardel, mi querido amigo, él que hizo famoso el tango de Buenos Aires a traves de los casinos de baja estofa de Paris al principio del siglo XX.

No se enamoró jamás de mujer alguna, Y el me confesó una noche en Paris cuando yo le confiaba un metejón: 'Todas las mujeres valen la pena de enamorarse, y darle la exclusiva a una es hacerle ofensa a las otras. Ademas, el hombre que piensa cinco minutos seguidos en una mujer no es un hombre, es un maricón'
Se dio vuelta y dejó caer un piropo porteño: había pasado una Parisina.
sgné : Vicente

samedi 17 octobre 2015





29 octobre 1899

Première sortie de La Femme



En ce jour du 29 octobre 1899  Franz  Enstein, Otto Rivers von Alset et  Eusebio Praxitelos, après avoir débattu longuement de la toilette qu’Ava devait porter, se décidèrent enfin de la sortir de la grande serre paradisiaque qu’ils lui avaient aménagée.
Ils étaient tous trois d’accord qu’il était plus que temps, car elle commençait à s’ennuyer, à tel point qu’elle s’était entichée d'un pantin, qu’elle appelait Sir.

Une lumière douce baignait l’avenue des Valides, et c’est par cette avenue qu’elle allait découvrir le monde, c’est  à  dire Paris. 
Encore peu assurée, car elle portait des chaussures pour la première fois, et qui pis est, sur les pavés, elle perdit l'équilibre en face du jeu de Paumes.En se relevant, elle s'esclaffa en accusant Sir Pantin de l’avoir distraite  et de l’avoir détournée du bon chemin.
Les trois amis observaient la charmante créature évoluer parmi les rues, s’émerveiller, s’extasier devant chaque détail, chaque arbre, véhicule, boutique, personne comme un enfant ébahi, et leurs cœurs, ou ce qui en faisait office, ne leur appartenaient plus. Ils battaient désormais au diapason des émotions de la belle.

A mesure qu’ils progressaient dans la cité, les parisiens, tout d’abord interloqués, puis rapidement séduits par ce nouvel  être se mirent à suivre Ava. Ils stoppaient quand elle stoppait, riait quand elle riait, tressautaient quand elle tressautait. Et c’était comme si tous restaient dans l’effluve de son parfum, liés invisiblement à son odeur, son humeur.
Au bout d’un moment, fatiguée, elle demanda à boire. Un garçon de café lui disposa immédiatement la chaise et la table où elle se trouvait, c'est à dire en plein milieu de la rue, pour lui servir  un thé. C’est en s’asseyant qu’elle s’aperçut de la forêt  immense d’yeux et de pédoncules qui l’observaient ravis. Un peu intimidée, mais charmée, elle leur fit des mines et la foule se mit à glousser et ronronner comme un dindon-chat un peu con. Franz, Otto et Eusebio décidèrent qu’il était alors temps de rentrer,  et ils durent tous les quatre traverser  l’assemblage hétéroclite qui fit comme une haie d’honneur disparate et respectueuse.
Quand ils arrivèrent à la serre,  L’avenue des Valides était noire de monde, et nos compères comprirent alors qu’ils avaient changé l'histoire